
Depuis 2001, Nîmes se veut à l’avant-garde du développement de la vidéosurveillance en France, sous l’impulsion de son maire, Jean-Paul Fournier. Déjà dotée d’un système de surveillance automatisée de l’espace public, la collectivité œuvre désormais, à bas bruit, au déploiement de la reconnaissance faciale. Se rêvant pionnière en matière de sécurité « intelligente », l’agglomération gardoise a lancé en 2018 un vaste plan pour une « Smart Security ».
En 2019 – 2021, la section LDH de Nîmes s’est investie dans la défense des libertés numériques, et tout particulièrement en ce qui concerne la vidéosurveillance à Nîmes. Dans ce cadre, nous avons été en contact avec le média internet « Sciences critiques ». Ce média vient de faire paraître le volet 2 de son enquête sur la vidéosurveillance, consacré à la situation nîmoise.